Le Tour des Collines du Perche (TCP)
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Le Tour des Collines du Perche (TCP)
Nogent-le-Rotrou

Le Tour des Collines du Perche (TCP)

Au fil de l'eau
Découverte du bocage
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Panorama et paysages
Patrimoine bâti
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Le Perche, un rêve de campagne

Une semaine d’évasion en famille ou entre amis à la porte de la maison aux confins de la Normandie, de la Région Centre et à moins de 2H de l’Ile de France. 220 km qui cheminent entre collines et vallons, rivières et manoirs, moulins, villages pittoresques et histoire du Perche au pays du célèbre cheval Percheron. Le Tour des Collines du Perche pourrait bien devenir un classique de la randonnée en France.

Ces étapes sont dimensionnées pour une pratique pédestre.
Le Tour des Collines du Perche peut également s'effectuer à VTT ou à cheval en adaptant les étapes à votre guise !

Voir l'itinéraire adapté à la pratique VTT en cliquant ici

Cheminer toute une journée, admirer les paysages bucoliques et flâner dans les villages, c’est la promesse de cette randonnée pour amateur d’itinérance.  D’une ville à un village, vous marcherez entre 23 et 30 km par jour, pour atteindre les 220 km en fin de séjour. On peut aussi moduler les étapes à son rythme.


Les 24 patrimoines à découvrir

  • Architecture

    Rivray

    La chapelle est l’unique vestige de l’ensemble castral. Elle se présente sur deux niveaux : la chapelle-basse à demi enterrée  a l'aspect d'une crypte ; la chapelle-haute, charpentée, est éclairée par des baies en plein-cintre. La chapelle-basse date de l'époque romane (XIe-XIIe siècles). L'édifice est couvert d'une charpente du XVIIe siècle. L’édifice est privé et n’est visitable que lors des journées du Patrimoine.
  • Histoire

    Le hameau de la Chaussée

    Le toponyme"la Chaussée" témoigne d'une voie antique qui a donné son nom au hameau.

    Communément appelé "voie romaine", chemin ferré ou chemin des Césars, son tracé tenait compte de la topographie, utilisant souvent les lignes de crêtes qui permettaient la surveillance des alentours.

    Situé sur un lieu de passage, ce village relevait autrefois de Saint-Germain-des-Grois, paroisse voisine. Vers 1530, une famine et une grand mortalité décimaient la région. les habitants, devant le manque d'empressement du curé envers leurs malades et leurs morts, s'affranchirent de Saint-Germain pour dépendre de Condé. Ils élevèrent alors, à La Chaussée, un 1er oratoire, remplacé en 1874 par la chapelle actuelle, dédiée à Notre-Dame des sept douleurs. Tout près est aussi érigé une croix, la croix Saint-Michel.
  • Architecture

    Villeray, son château, son moulin, son histoire

    Guide de visite réalisé par l'Office de Tourisme disponible ICI
  • Histoire

    Villeray

    Villeray est, au XIe siècle, une position stratégique importante face à la forteresse des Rotrou, comtes du Perche, érigée à Rivray de l’autre côté de la rivière.
    Deux châteaux à mottes castrales y sont élevés par les Talvas, seigneurs de Bellême. Au nord, la motte de Villeray en Husson est distante d’à peine 300 m de celle de Villeray en Assé, au sud. Les sites fortifiés, sont détruits par les anglais lors de la guerre de 100 ans.
    Sur l’emplacement de la forteresse d’Assé, Gilles de Riants fait construire, à la fin du XVIe siècle, un château « à l’appui d’une tour ruinée ». Fidèle au Roi Henri IV pendant les guerres de Religion, il est récompensé par l’érection de ses châtellenies en baronnie.
    Sous l’ancien régime, Villeray est un des meilleurs revenus de la province du Perche avec son notariat, son tribunal, ses droits de pêche et de chasse, ses foires et son marché aux toiles. Un petit bourg se blottit près du château et l’Huisne fait tourner deux beaux moulins.

    Du premier château construit au Moyen-Age pour défendre la vallée de l'Huisne, restent les douves, le talus, et l'ouvrage d'entrée avec ses deux tourelles. Le château a été rebâti au milieu du 16e siècle. Le château de Villeray est épargné pendant la tourmente révolutionnaire grâce à son maire, le conventionnel Dugué d’Assé, qui vota la réclusion de Louis XVI.
    En 1846 a été effectuée une restauration en style néo-renaissance : les façades ont été ornées de motifs floraux, de guirlandes de feuillages et de personnages en médaillon. Le parc a été conçu au 17e et modifié à la fin du 18e/début 19e s. Le plan actuel du parc a été réalisé par Fauche entre 1845 et 1856.

    Le moulin continue de fonctionner jusqu’en 1920. Après avoir été converti en fromagerie, filature, fabrique de meubles et fonderie ; depuis 1973, il est un superbe hôtel-restaurant.
  • Architecture

    Eglise Saint-Germain-des-Grois

    L’église Saint-Germain de fondation romane avec un chœur du XIIe siècle a été profondément remaniée aux XVe et XVIe siècles. La construction carrée d’ensemble s’apparente à un prieuré. Dans la nef à trois travées flanquées de 2 collatéraux on peut admirer des autels des XVIIe et XVIIIe siècles.

    Plus d'informations ici

    Le mémorial aux pilotes américains a été érigé en 2010 pour commémorer la mort de deux pilotes américains abattus successivement en juin et août 1944 près du village de Saint-Germain-des-Grois.

  • Histoire

    Eglise Saint-Germain-d'Auxerre

    Saint-Germain d’Auxerre est un saint gallo-romain qui vécut au début du Ve siècle. Légat du pape Célestin 1er en Grande-Bretagne il y consacra Saint-Patrick, apôtre des Irlandais.

    L’église est, comme beaucoup d’églises du Perche, de structure romane (XIIe siècle) dont il reste la façade occidentale avec son porche à double archivolte, la nef et l’abside semi-circulaire. La tour du clocher de plan carré fut construite au XIVe siècle et couverte au XVIIe siècle d’une toiture en dôme à pans et surmontée d’un campanile. A la Renaissance (XVe et XVIe siècles) la nef a été agrandie de deux bas-côtés, celui du sud formant un alignement de cinq pignons où les gargouilles semblent prendre naissance dans les contreforts.

    A l’intérieur la nef est couverte d’une charpente lambrissée en berceau. Un buffet d’orgue néo-gothiqe de 1856 habille un instrument restauré en 1990 et sur lequel sont régulièrement donnés des récitals. De belles statues en bois polychromes des XVIe et XVIIe siècles et des tableaux du XVIIIe siècle ornent également cet intérieur.

    Enfin, peut être admirée une belle série de vitraux signés Charles Lorin (célèbre maître-verrier chartrain), installés à la fin du XIXe siècle. Dans le bas-côté nord se trouve, par exemple, un vitrail mémoriel qui rend hommage aux soldats de Rémalard tombés sur les champs de bataille de la Première Guerre Mondiale. Ce vitrail remarquable n’est malheureusement pas signé.

  • Histoire

    Le château de Voré - XVIIe

    Bâti vers 1685 en pierre de taille « à la moderne » d’après les dessins d’Hardouin-Mansart, le château de Voré fut acquis en 1719 par Louis Fagon, intendant des Finances, fils du célèbre médecin de Louis XIV. De style classique le logis en pierre blanche se compose d’un corps central encadré de deux ailes latérales en retour. Le tout est couvert d’un comble brisé « à la Mansart » percé d’une suite de lucarnes. Fermée par une grille en fer forgé la cour d’honneur est cernée de fossés (sauts-de-loups).

    Un ensemble de communs, un pavillon octogonal, dit « de Madame Helvétius », un parc à l’anglaise et une ancienne tuilerie viennent compléter le domaine.

    En 1743, Voré devint propriété de Claude-Adrien Helvétius (1715-1771), ami de Voltaire et de Diderot, qui en fit sa résidence favorite. Fermier Général par la faveur de la reine Marie-Leczinska, Helvétius épousa en 1751 la comtesse de Ligniville d’Autricourt qui l’incitera à habiter Voré. Il y séjournera huit mois de l’année, gérant le domaine et se consacrant à la littérature. Il écrira à Voré ses principales œuvres dont son essai « De l’Esprit », paru en 1757 sans nom d’auteur. L’ouvrage dans lequel Helvétius exposait ses théories philosophiques fit scandale : dénonçant les abus des courtisans, il appelait à des réformes sociales qui soulevèrent l’indignation de la famille royale et des Grands.

    Mettant en application ses principes de générosité, Helvétius s’est employé à soulager la misère des paysans en créant des ateliers (dentelle au point d’Alençon, bonneterie). Il voulut même installer de hauts-fourneaux mais se heurta à la farouche opposition des maîtres de forge de la contrée.

    A sa mort, le 26 décembre 1771, Helvétius laissa deux filles. La cadette, héritière de la terre de Voré, épousa en 1772 le comte d’Andlau. Les descendants du philosophe habitent toujours le château.

    Cette propriété privé ne se visite pas.

  • Point de vue

    Point de vue

    Joli point de vue sur la vallée de la Corbionne
  • Architecture

    Eglise Notre-Dame du Mont-Harou

    L'église Notre Dame du Mont Harou, fichée au sommet de la colline, avec l'alignement de ses cinq chapelles aux gargouilles allongées, son abside prolongée d'une absidiole, et son porche roman, force l'admiration. Classée "Monument historique", les premiers éléments architecturaux que l'on a identifiés datent du XIème siècle quand le comte Rotrou III, de retour des croisades, accorda aux moines de l'abbaye de Saint Laumer le privilège de rétablir une vie monastique sur le berceau de leur fondateur, l'ermite Lhomer (VIème siècle).

    Guide réalisé par l'Office de Tourisme disponible ICI
  • Architecture

    Le Manoir de Bellegarde

    Ce manoir, classé Monument Historique, entièrement ceinturé de hauts murs, se compose d'un logis principal, d'un pavillon, de communs tout en longueur ainsi que de jardins en terrasse.
    Son nom conserve le souvenir d'un ancien poste militaire. Reconstruit en 1738 par Marie de la Vove, le coprs du logis principal, flanqué à l'arrière d'une tour ronde à mâchicoulis, est de style classique. Sa façade appareillée en brique et pierre de taille est rigoureusement symétrique.

    Résidence privée, ce manoir ne se visite pas mais peut être réservé pour des réceptions.

  • Histoire

    Robert Giffard, promoteur de l'émigration percheronne au Canada français

    Fils de soldat, Robert Giffard naquit vers 1587 à Autheuil. Ses études finies et sa majorité atteinte, il s'installe comme apothicaire à Tourouvre. Il aurait connu l'apothicaire parisine Louis Hébert, 1er colon du Canada. De ce contact lui serait venu le désir de partir pour le Canada.
    Dès 1621, Giffard séjourne en Nouvelle-France, explorant la contrée, chassant et y faisant commerce. Revenu au pays en 1628, il se marie et repart seul au printemps de cette même année en qualité de chirurgien de la marine pour le compte d'une compagnie qui a reçu pour mission de peupler, défricher et cultiver le Canada.
    Après le traité de Saint-Germain-en-Laye, signé en 1632 avec le roi d'Angleterre, qui affirme les droits de la France sur le Canada, Giffard organisera les concessions reçues de la comapgnie. Devenu seigneur de Beauport en 1634 il recrute une trentaine de colons percherons et s'installe sur son domaine. 
    A sa mort, en 1668, la colonie atteint 3 000 habitants.
  • Flore

    La tourbière de Commeauche

    Venez découvrir cette tourbière sauvegardée dans une clairière de la forêt de Réno-Valdieu. Sur 4 mètres d'épaisseur de tourbe se développe une flore très originale, caractéristique de ces milieux. Vous pourrez ainsi admirer une des plus grandes et des plus belles orchidées, l'epipactis des marais et profiter du ballet des libellules, nombreuses dans ces zones humides.

    La tourbière de Commeauche est une grosse éponge gorgée d'eau. A l'origine, une mousse particulière, la sphaigne, a formé la tourbe par accumulation. Ce gros tapis spongieux, parfois épais de 3 ou 4 mètres, s'est formé sur plusieurs siècles. Il donne au site un profil bombé. La tourbière, alimentée par une nappe profonde, sert de filtre épurateur naturel pour la Commeauche, rivière à truites située en contrebas

    Informations pratiques : Visites guidées uniquement.

    Visites guidées : Visites guidées : Association Faune et Flore de l’Orne. Tél. 02 33 26 26 62
    ou Conservatoire des espaces naturels de Normandie.Tél. 02 31 53 01 05

  • Histoire

    La Chartreuse du Valdieu

    Fondée en 1170 par Rotrou IV, comte du Perche, cette ancienne chartreuse a conservé des bâtiments du XVIIIème siècle comme le pavillon d’entrée en briques et, à droite, la chapelle des Dames. Les moines avaient choisi un endroit isolé et sauvage pour suivre la règle de Saint Bruno, empreinte de silence et d’austérité. Ce lieu était dénommé la « Vallée du Diable » ; ils le baptisèrent le « Val-Dieu ».

    Après le départ des Chartreux, en 1791, leur domaine fut mis en vente comme Bien National. Abandonnée, la chartreuse tomba en ruines et ne demeurent que les quelques bâtiments visibles de la route.

    L’ensemble est maintenant en de bonnes mains, le premier étang a été remis en eau et le lieu revit (propriété privée).

  • Flore

    L'étang Gabriel

    Niché dans son creux de forêt, c’est l’un des étangs creusés par les moines du Val-Dieu.

    Il a la particularité d’avoir un fond empierré en rognons de silex.

  • Histoire

    Synthèse communale

  • Histoire

    Au n°6 de la rue Toussaint

    Observer la maison dite Henri IV
  • Histoire

    L'église Notre-Dame

    L'église Notre-Dame (1494-1535) a été reconstruite et agrandie après la guerre de Cent Ans, à l'emplacement de l'ancienne chapelle du Fort Toussaint.
    La tour, coiffée vers 1620 d'un dôme d'ardoise, brûla en 1887. Maladroitement restaurée, elle s'effondra en 1890. Sa reconstruction s'est limitée à abriter l'horloge et les cloches.
    Le portail nord- "porte des Comtes" -, au gâble flamboyant tronqué, offre de beaux vantaux sculptés.
    A l'intérieur de l'église : ensemble de vitraux exceptionnels, de la Renaissance au XXe siècle, voûte à pendentifs, boiseries du XVIIIe siècle, stalles, chaire.
  • Histoire

    Les tribunes de l'hippodrome de Mortagne-au-Perche

    Les tribunes de l'hippodrome de Mortagne-au-Perche sont protégées au titre des Monuments Historiques. Reconstruites en 1825 et restaurées en 1997, les trois tribunes en bois (une tribune d'honneur et deux tribunes latérales)  sont les plus anciennes conservées en France. Elles sont décorées de frises sculptées avec épis de faîtage en plomb .
  • Histoire

    Synthèse communale

  • Petit patrimoine

    La fontaine de St-Julien

    Maçonnée en 1982, cette fontaine est l’une des sources du ruisseau du Montperthuis, affluent de l’Orne

    saosnoise. Elle est dédiée à Saint-Julien, premier évêque du Mans, illustre par ses nombreux miracles.

    Le plus mémorable étant celui qu’il fit, lorsque, ayant vu les habitants de la ville privés d’eau, s’adressant à

    Dieu, il lui demanda qu’une fontaine d’eau vive jaillisse à l’endroit où il avait planté son bâton pastoral.

  • Flore

    Le chêne de l'école

    En 1927, ce chêne a été dédié à l'Ecole Nationale des Eaux et Forêts dont il tire son nom.
    Il s'agit d'un chêne Cécile né en 1666 (sous le règne de Louis XIV) qui a donc plus de 350 ans et qui force l’admiration, avec une circonférence à hauteur d'homme de 4,55 mètres et  42 mètres de hauteur.
    Hauteur à la couronne de 22 mètres, volume total en bois de 36 m3, volume du fût 29 m3.

  • Histoire

    La ville de bellême

    La ville de Bellême a été construite sur un éperon rocheux afin de se protéger de toute attaque extérieure. Le château était entouré de deux enceintes : l’une protégeant le château, la seconde préservant la cité et ses habitants. Deux portes permettaient d’entrer à l’intérieur à l’Est et à l’Ouest. Cependant la circonférence de l’enceinte n’étant que de 800 m, des faubourgs se sont ajoutés au fil des ans : le faubourg Saint-Sauveur (où se trouve l’église actuellement) et le faubourg Saint-Pierre (place Boucicaut).

  • Histoire

    La Chapelle Saint-Santin

    Cette chapelle est le plus vieil édifice du Perche (propriété privée). Elle fut bâtie vers l'an 960 sur une motte castrale. Autrefois appelée Notre-Dame du Vieux Château, sa construction rustique, ses fenêtres étroites et sa porte basse, typiques de l'architecture romane, attestent de son ancienneté. Vendue en 1793 comme bien national, la chapelle fut transformée en grange !
    Après avoir connu différents propriétaires, Pierre Serès (ancien chirurgien) s'y installe. Il y fait des travaux et la rend au culte. Il y sera enterré en 1828. En 1856, elle est achetée et restaurée par le marquis de Chennevières. En 1873, ce marquis fut l'animateur d'une "académie de Bellême" qui eut pour membre Edmond de Goncourt. Goncourt, qui reprie cette idée d'académie pour créer l'Académie Goncourt !
    En 1874, le marquis instaure un concours cantonal d'instruction primaire. Il donne à la ville la statue de Colin Maillard (oeuvre de son ami sculpteur Victor-Edmond LeHarivel Durocher). Il se battra également pour obtenir une ligne de chemin de fer.
  • Histoire

    Le Château des Comtes du Perche

    Nogent-le-Rotrou est dominé par un impressionnant donjon rectangulaire de 30 m de haut prolongé d’un mur  lui-même défendu par sept tours. Bâti du XIe au XVe siècle, le château Saint-Jean surplombe la vallée de l’Huisne. Curieusement, ses concepteurs médiévaux, sans doute soucieux de sécurité, n’avaient pas prévu d’accès côté ville. Leur négligence fut réparée à la Renaissance avec l’édification des 155 marches de Saint-Jean qui relient désormais le château au quartier. 

Description


Le Tour des Collines du Perche
vous fera découvrir le Perche ornais et eurélien, son bocage, ses collines, ses vallées, ses forêts à l’ombre de ses nombreux manoirs, églises, chapelles et de mille autres endroits.

Vous serez certainement étonnés de la diversité des paysages que vous traverserez au cours d'un périple qui vous fera passer par des villages étapes typiquement percherons et chargés d’histoire.

Les étapes

Consultez toutes les étapes grâce à l'onglet "Étapes"

  1. De Nogent-le-Rotrou à Rémalard
  2. De Rémalard à Moutiers-au-Perche
  3. De Moutiers-au-Perche à La Ferté-Vidame
  4. De La Ferté-Vidame à Tourouvre
  5. De Tourouvre à Mortagne-au-Perche
  6. De Mortagne-au-Perche à La Perrière
  7. Variante : De Mortagne-au-Perche à Bellême par Mauves-sur-Huisne
  8. De La Perrière à Saint-Germain-de-la-Coudre par Bellême
  9. Variante : De La Perrière à Saint-Germain-de-la-Coudre par Igé
  10. De Saint-Germain-de-la-Coudre à Nogent-le-Rotrou
  • Départ : Nogent-le-Rotrou
  • Arrivée : Nogent-le-Rotrou
  • Communes traversées : Nogent-le-Rotrou, Margon, Champrond-en-Perchet, Brunelles, Condé-sur-Huisne, Coulonges-les-Sablons, Condeau, Saint-Germain-des-Grois, Dorceau, Rémalard, Bretoncelles, La Madeleine-Bouvet, Moutiers-au-Perche, Le Pas-Saint-l'Homer, Les Menus, Neuilly-sur-Eure, La Ferté-Vidame, Senonches, Les Ressuintes, Lamblore, Marchainville, Moulicent, L'Hôme-Chamondot, La Ventrouze, Tourouvre, Autheuil, Feings, Saint-Mard-de-Réno, Villiers-sous-Mortagne, Mortagne-au-Perche, Saint-Langis-lès-Mortagne, Saint-Denis-sur-Huisne, Saint-Jouin-de-Blavou, Parfondeval, Coulimer, Pervenchères, La Perrière, Bellavilliers, Origny-le-Butin, Le Gué-de-la-Chaîne, Saint-Martin-du-Vieux-Bellême, Bellême, Appenai-sous-Bellême, La Chapelle-Souëf, Gémages, Saint-Germain-de-la-Coudre, Le Theil, L'Hermitière, Male, Souancé-au-Perche et Saint-Jean-Pierre-Fixte

Météo


Profil altimétrique


Recommandations

Préférez venir entre mai et octobre.

Les étapes peuvent s'effectuer individuellement, depuis les gares ou parking des villages étapes.

Pas de difficultés particulières mais des étapes longues de 27km en moyenne par jour.

Deux passages délicats mais avec visibilité, attention : traversée de la RN12 au niveau du village de La Ventrouze et de la D923 avant d’arriver à Nogent-le-Rotrou.

Lieux de renseignement

Maison du Parc naturel régional du Perche

Manoir de Courboyer - Nocé, 61340 Perche-en-Nocé

http://parc-naturel-perche.frinfo.tourisme@parc-naturel-perche.fr02 33 25 70 10

Transport

GARE SNCF, Nogent-le-Rotrou

Accès routiers et parkings

Stationnement :

Parking de la gare

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