Les 7 patrimoines à découvrir
- Point d'eau
La Réserve naturelle régionale de la clairière forestière de Bresolettes
Visitez la Réserve : toutes les informations ici
La Réserve naturelle régionale de la clairière forestière de Bresolettes s’étend sur 780 ha dans les communes ornaises de Bresolettes, Bubertré, Prépotin et Randonnai, au sein du massif forestier domanial du Perche et de la Trappe (géré par l’Office National des Forêts).
Elle a été créée en octobre 2010 par délibération du Conseil régional de Basse-Normandie, à l’initiative d’un comité regroupant propriétaires privés, élus des communes concernées, ONF et Parc naturel régional du Perche. Depuis 2013, les co-gestionnaires, Parc et ONF, disposent de moyens techniques et financiers (Europe, Région) pour des actions pédagogiques, de connaissance, de restauration et de gestion de milieux naturels.
Les principaux enjeux de conservation ont été identifiés autour de l’Avre et de l’écosystème forestier (qui représente 88 % de la surface de la Réserve. Plus de 347 plantes ont ainsi été recensées mais également 14 espèces de chiroptères (chauves-souris), 198 espèces d’insectes et 54 espèces d’oiseaux.
Outre les richesses naturelles qu’ils abritent, les étangs en chapelets sur l’Avre sont aussi le témoin de l’activité métallurgique que connut la région, de la fin du XVIIe siècle au début du XIXe siècle
- Histoire
Synthèse communale
Lien vers synthèse communale de l'inventaire du patrimoine bâti de Villiers-sous-Mortagne, réalisée par Florent Maillard. - Histoire
Synthèse communale
Lien vers synthèse communale de l'inventaire du patrimoine bâti de Feings, réalisée par Florent Maillard - Histoire
La Chartreuse du Valdieu
Fondée en 1170 par Rotrou IV, comte du Perche, cette ancienne chartreuse a conservé des bâtiments du XVIIIème siècle comme le pavillon d’entrée en briques et, à droite, la chapelle des Dames. Les moines avaient choisi un endroit isolé et sauvage pour suivre la règle de Saint Bruno, empreinte de silence et d’austérité. Ce lieu était dénommé la « Vallée du Diable » ; ils le baptisèrent le « Val-Dieu ».
Après le départ des Chartreux, en 1791, leur domaine fut mis en vente comme Bien National. Abandonnée, la chartreuse tomba en ruines et ne demeurent que les quelques bâtiments visibles de la route.
L’ensemble est maintenant en de bonnes mains, le premier étang a été remis en eau et le lieu revit (propriété privée).
- Histoire
La Ferme du Grand Boulay
Autrefois métairie du Val-Dieu, la métairie du Grand Boulay, ceinte d’une douve, témoigne d’un ensemble semi-fortifié. La forêt toute proche, laisse supposer que cette ancienne maison-forte était à l’origine une « ferme pionnière », liée à un site de défrichement. Un porche monumental couvert daté de 1579 en marque l’entrée. Murée, la porte piétonne est doublée d’une porte charretière qui a conservé dans le linteau l’emplacement de deux crapaudines hautes. Un large fossé en eau d’un périmètre de huit cent mètres délimite le pourpris, grand quadrilatère de trois hectares. Au centre, s’élève la maison d’habitation flanquée au nord d’un haut pignon sur lequel vient s’appuyer un bas-côté contreforté abritant un couloir vouté. Malgré les remaniements, le bâti (contreforts, ouvertures en arc surbaissé, linteau chanfreiné, grilles de défense) fait penser à une construction de la fin du Moyen Age. En arrière-plan, une grange longue d’une cinquantaine de mètres est percée symétriquement sur chaque façade de deux portes en anse de panier. Une clé porte l’année 1762. - Histoire
Robert Giffard, promoteur de l'émigration percheronne au Canada français
Fils de soldat, Robert Giffard naquit vers 1587 à Autheuil. Ses études finies et sa majorité atteinte, il s'installe comme apothicaire à Tourouvre. Il aurait connu l'apothicaire parisine Louis Hébert, 1er colon du Canada. De ce contact lui serait venu le désir de partir pour le Canada.
Dès 1621, Giffard séjourne en Nouvelle-France, explorant la contrée, chassant et y faisant commerce. Revenu au pays en 1628, il se marie et repart seul au printemps de cette même année en qualité de chirurgien de la marine pour le compte d'une compagnie qui a reçu pour mission de peupler, défricher et cultiver le Canada.
Après le traité de Saint-Germain-en-Laye, signé en 1632 avec le roi d'Angleterre, qui affirme les droits de la France sur le Canada, Giffard organisera les concessions reçues de la comapgnie. Devenu seigneur de Beauport en 1634 il recrute une trentaine de colons percherons et s'installe sur son domaine.
A sa mort, en 1668, la colonie atteint 3 000 habitants. - Histoire
Eglise Notre-Dame d'Autheuil
Magnifique témoignage de l'art roman, cette église fut construite au XIIème siècle.
Elle est en bel appareillage de calcaire et de grison, sur plan en croix latine, avec abside, transept et absidiole.
L'atmosphère intérieur de l'église incite au recueillement : A l'obscurité de la nef, scandée par de hautes fenêtres, répond la clarté du chœur et de l'abside. Les décors sont particulièrement intéressants. Aux simples carrelage à l'ancienne, répond le luxe des arcatures aveugles, avec des chapiteaux tous différents.
A la croisée du transept, les chapiteaux très originaux montrent tout un répertoire de feuillages, d'animaux fantastiques et de quadrupèdes étranges, ainsi que deux atlantes et un petit groupe figurant Adam et Eve. Une forte influence viking est à remarquer.
A voir aussi, la porte Renaissance de la sacristie, les éléments de fresques des XIII, XIV et XVIIèmes siècles, et les trois statues des XVème et XVIIème siècle : Saint Léonard, Saint Blaise et Notre Dame d'Autheuil.
Météo
Profil altimétrique
Lieux de renseignement
Maison du Parc naturel régional du Perche
Manoir de Courboyer - Nocé, 61340 Perche-en-Nocé
Office du Tourisme des Hauts du Perche -Tourouvre
10, rue du 13 août 1944, 61190 Tourouvre-au-Perche
Accès routiers et parkings
Stationnement :
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